Ons netwerk

Un réseau européen de coopératives de travailleurs

Ensemble, notre action a encore plus d’impacts

Afin d’atteindre des économies d’échelle et offrir plus de débouchés aux producteurs, nous adoptons une stratégie coopérative européenne. Ainsi, nous avons des coopératives “soeur” en France, en Espagne et en Allemagne. Nous avons chacune notre autonomie afin de répondre au mieux à nos marchés respectifs mais sommes interconnectés. Nous mutualisons toute une série de fonction (qualité, recherche et développement, suivi des producteurs, développement de filières,…) afin de garantir aux consommateurs le prix le plus compétitif possible.
La dimension européenne de notre activité assure les volumes nécessaires au développement de nos coopératives producteurs partenaires.

Un ancrage local

Nous inscrivons notre action dans des relations de proximité

Nous avons établi notre siège d’exploitation à Namur au coeur de notre zone d’action.

Le capital est détenu par les travailleurs

chaque travailleur peut devenir actionnaire de l’entreprise

Après un an d’ancienneté, chaque travailleur a la possibilité d’acheter au moins une part de la coopérative et donc de devenir co-actionnaire. Cela lui donne le droit de vote à l’assemblée générale. L’ensemble des travailleurs détient au moins 50% des droits de vote afin de garantir le pouvoir dans leurs mains. Les travailleurs sont également représentés au sein du conseil d’administration.

Les réserves impartageables

Une partie du bénéfice (min 50%) est affectée à la consolidation des fonds propres

Il s’agit d’une partie du bénéfice qui ne peut être distribué. Cette réserve ne peut être affectée que pour des investissements nécessaires au développement de l’entreprise ou à la poursuite de sa finalité sociale. Le but de cette réserve, c’est de pérenniser l’entreprise par un renforcement des fonds propres. Ça augmente la capacité de développement et de résistance aux crises de l’entreprise. Ce système augmente de 15% le taux de survie des Scop en période de crise par rapport aux entreprise classiques.

Du bénéfice pour les travailleurs

Une partie du bénéfice est distribuée aux travailleurs.

En fonction du résultat de l’entreprise et d’une décision de l’assemblée générale, les travailleurs pourront recevoir jusqu’à 35% du bénéfice. Ce principe vise à récompenser prioritairement ceux qui ont participé activement au succès de la coopérative.

Rémunération limitée du capital

Primauté du travail sur le capital

Le montant à ne pas dépasser est fixé par le Conseil National de la Coopération. Pour le moment, il est de maximum 6%. Ce montant est cumulable sur une période de trois ans maximum. Par exemple, si l’entreprise a connu deux années sans dividende, elle pourra remettre un triple dividende l’année suivante.
Ceci dit, l’entreprise ne peut pas accorder plus d’importance à la rémunération du capital qu’à la mise en réserve ou qu’à la part du bénéfice affectée aux travailleurs.

Une coopérative à finalité sociale

L’économie sociale. Une autre manière d’entreprendre, qui place l’humain au centre.

A la différence des entreprises classiques, notre première raison d’être est de rencontrer les besoins de la société, plutôt que de viser le profit. C’est cette finalité sociale qui est au cœur de notre projet et qui est définie de la manière suivante dans nos statuts: “la promotion et la valorisation de l’agriculture paysanne et la diversité écologique, sociale et culturelle des territoires ruraux, par le biais de la commercialisation de produits éthiques et/ou équitables. La commercialisation de ces produits est considérée par l’entreprise comme un moyen de développement durables des régions rurales des pays du Sud et du Nord.”