CE QUE JE GRIGNOTE
Le poivre noir du Kérala de la coopérative FTAK est reconnu pour son parfum subtil et son agréable piquant.
Il offre un beau pas de deux avec la cajou venant de la même organisation paysanne. Un équilibre parfait pour l’apéro et des revenus diversifiés pour les producteurs du commerce équitable !
CE QUE JE DÉFENDS
Des pratiques agro-écologiques

Malgré la petite taille des exploitations, les producteurs arrivent à maintenir un niveau de vie décent grâce au commerce équitable et à des pratiques agro-écologiques.
La coopérative FTAK réunit 4 184 “très” petits producteurs. Faire vivre une famille sur des parcelles aussi restreintes reste un défi. Ils associent cultures maraîchères et de rente, comme le poivre et la cajou vendus à un prix équitable. Les cultures se renforcent les unes les autres et assurent la fertilité du sol. Ce modèle est résilient face aux aléas climatiques. Mises bout à bout, ces petites productions leur assurent un revenu décent.


En fonction des récoltes, les cajous proviennent de projets de commerce équitable avec les coopératives COOPAKE au Burkina Faso et ETHICAJOU au Sénégal.La coopérative COOPAKE décortique elle-même ses cajous avec une technique innovante et écologique.
Le Kénédougou est le verger du Burkina Faso. La COOPAKE, y réunit 216 membres aux récoltes variées : mangue, cajou, sésame, hibiscus, karité. Le décorticage local de la cajou génère jusque 6 fois plus de valeur ajoutée. L’aide de la RONGEAD, une ONG technique, a permis à la COOPAKE de chauffer le four à décortiquer avec la coque de cajou. Un déchet devient ainsi une ressource et le résidu de la combustion offre un compost bio ou un charbon ménager.
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