CE QUE JE CROQUE
Ce chocolat noir affiche 65% de cacao enveloppé de quinoa et offre un voyage intense autour des cacaos natifs du Pérou et d’Équateur.
CE QUE JE DÉFENDS
LE SOUTIEN AUX PETITS PRODUCTEURS
La culture du cacao reste le fait de petites exploitations familiales. Plus de 90% des producteurs cultivent des parcelles de 2 à 5 hectares. Appuyer la création de coopératives permet aux producteurs de peser dans la filière.
Ces dernières années, des mines à très grande échelle portées par des multinationales de l’extraction dévorent le piémont amazonien. Elles bouleversent les pratiques communautaires et menacent irrémédiablement les ressources hydriques. Face à ces paysages dévastés, des communautés paysannes comme les 170 familles d’APEOSAE maintiennent des cultures agro-forestières que le commerce équitable se doit de soutenir.
La province amazonienne de Zamora en Équateur est un front pionnier. Les membres de la coopérative APEOSAE cultivent en moyenne 1 hectare de cacao, aux côtés du café, de la banane et de cultures maraîchères. Ces paysans accédaient difficilement au marché du fait de l’isolement de la région. Organisés en coopérative depuis 2005, ils vendent eux-mêmes leurs récoltes sans intermédiaires.
Le cacao de cette tablette provient également de dix autres projets de commerce équitable avec des coopératives de producteurs en Équateur et au Pérou (UOPROCAE, UNOCACE, SOL Y CAFE, UROCAL, FONMSOEAM, FAPECAFES).
APEOSAE
Partenaire depuis 2006
Dans cette région enclavée du sud de l’Equateur, les dynamiques coopératives sont rares. APEOSAE, Asociación de Pequeños Exportadores Agropecuarios Orgánicos del Sur de la Amazonía Ecuatoriana, regroupe 8 associations de base.nAPEOSAE est membre à l’union de coopératives FAPECAFES.nnDepuis des décennies, la région amazonienne du sud de l’Equateur est séparée du développement du reste du pays du fait de ses conditions d’accès diffciles. Le relief accidenté et la forêt amazonienne ont retardé l’exploitation de cette région et le développement d’infrastructure routière. L’accès à à l’eau potable, l’électricité, les transports en commun, une éducation de qualité sont difficiles pour les paysans.nnLe climat amazonien permet une diversité des cultures au sein des exploitations agricoles. Les membres d’APEOSAE cultivent de 1 à 3 hectares de café, de 0,5 à 2 hectares de banane plantain, 1 ha de cacao spécifiquement dans les zones inférieures à 800 mètres d’altitude, du maïs, du manioc et de la canne à sucre pour la consommation de la famille et des animaux (volailles, bovins). Les familles maintiennent des réserves de forêt amazonienne de 10 à 15 hectares sur des zones escarpées difficilement exploitables.nn
La preuve concrète de nos engagements
Nombre de producteurs de cacao, banane plantain et café
0Pourcentage de ménages locaux dépendant de la production et de la vente de café, de cacao et de plantains pour leurs revenus
0%