CE QUE JE GRIGNOTE
Le célèbre mélange d’aromates sonne l’heure des apéro en plein air !
Laurier, thym, romarin et origan sont issus de la cueillette sauvage ou de la culture bio en Ardèche. Des saveurs méridionales qui se marient parfaitement avec ces noix de qualité au bon goût de cajou.
CE QUE JE DÉFENDS
Des conditions de travail décentes
Les noix de cajou sont décortiquées par la coopérative COOPAKE au Burkina Faso. Elle assure aux salariés une protection contre les brûlures des coques acides.
A Orodara, au Burkina Faso, l’atelier de la coopérative COOPAKE donne un emploi à 150 personnes dans une zone rurale pauvre en travail salarié. Ce sont souvent les femmes des producteurs de la coopérative qui en bénéficient. Grâce au prix équitable, elles sont payées très au-dessus du SMIC national. Elles se protègent les mains avec de l’huile de coton qui neutralise l’acide caustique contenu dans les coques de l’anacarde.


En fonction des récoltes, les cajous proviennent également d’un projet de commerce équitable avec la coopérative ETHICAJOU au Sénégal. Les herbes de Provence sont issues de la coopérative Viva Plantes qui défend l’agriculture paysanne en Ardèche.
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